Création du ministère 

La création d’un Ministère n’est jamais le fait du simple désir de l’homme, contrairement aux idées reçues. L’initiative relève de la manifestation du Saint Esprit et de la volonté de Dieu. C’est Lui qui montre qu’il est ainsi capable de faire bâtir son Œuvre par Jésus Christ de Nazareth. C’est un principe fondamental qui a servi à la création du Ministère de la gloire de Dieu, MGD, dirigé par l’Apôtre Patrick AHOUA.

Tout a commencé en 1988 à Abidjan, en Côte d’Ivoire, par des cellules de prière à domicile, animées par des personnes, visiblement, touchées par le désir d’affirmer leur foi chrétienne et leur volonté de découvrir la parole de Dieu. Ce début a très vite évolué dans une sorte de consécration et d’émulation à travers ces différentes rencontres de prière. Ainsi, le nombre des participants à ces cellules de prière étant devenu assez important, il a été question de parler de la formation d’une église de maison, dans son plein fonctionnement.

A partir de 1991, à Abidjan, en Côte d’Ivoire, l’église de maison est entrée dans une nouvelle phase d’évolution quand elle reçut la bénédiction de Dieu qui a commencé à glorifier son Nom par la manifestation du Saint Esprit. A partir de cette période, l’Apôtre AHOUA et d’autres serviteurs de Dieu ont débuté un véritable travail de culte, en procédant à la réalisation des séances de guérison physique (externe) et spirituelle (interne), de délivrance, de bénédiction…

A cette époque, l’Apôtre AHOUA, qui est, aujourd’hui, le fondateur du Ministère de la gloire de Dieu, (MGD ) œuvrait surtout comme un itinérant homme de Dieu. Pendant dix ans, il a parcouru le monde, allant servir le Seigneur dans de grandes rencontres internationales. Dix autres années plus tard, le Seigneur le conduit à aller s’installer en France. C’est là que commence une étape décisive, pour en faire la base de sa vie sacerdotale et le début de sa mission à travers les continents. Ainsi, il a bâti le Ministère de la gloire de Dieu. Car, l’église, c’est aussi le symbole de rassemblement des nations demandé par Dieu, pour l’accomplissement de sa mission.

L’appel de l’Apôtre AHOUA

Le début du sacerdoce de l’Apôtre AHOUA ne s’est pas manifesté comme un simple " appel" qui marque souvent le départ de la vie et l’engagement de tout serviteur consacré au Seigneur. En général, tout s’accomplit à travers la manifestation du Saint Esprit qui appelle à servir Dieu. L’engagement reçu par l’Apôtre AHOUA, à servir Dieu, est en réalité une mission. Car, son engagement s’inscrit dans une autre dimension par l’avènement des situations particulières, de visions et de révélations successives pertinentes.

Voici le résumé du récit sur ces révélations qui ont servi de repère au sacerdoce de l’homme de Dieu, l’Apôtre AHOUA : «  C’était en 1988, quand Dieu m’a révélé de porter son fardeau en me chargeant de bâtir son œuvre par Jésus Christ de Nazareth. En 1990, alors que je dormais, le Seigneur Jésus Christ m’est apparu en songe, accompagné de deux anges. En cet instant précis de moment intense, je me voyais comme enfermé entre les quatre murs d’une chambre, sans porte et sans fenêtre. C’est en ce moment précis que Jésus me dit: « Tu dois bâtir mon œuvre… ».

Après ce bref message, ferme et précis, l’un des quatre murs doté d’un store s’ouvrit devant moi afin que je puisse sortir. Seulement, avant de m’en aller de cette chambre, le Seigneur Jésus Christ me dit : « tu peux maintenant t’en aller ». Après avoir franchi la porte d’entrer, je me voyais au dehors escorté par deux anges de Jésus, en train de marcher sur les eaux. En levant le regard loin devant moi, j’aperçois à l’horizon dans le ciel, des taches noires. Quelques instants après, ces taches se sont progressivement transformées et distinctement en images cartographiques représentant les cinq continents du monde. C’est alors que je reçois par une voix intérieure, un message, aussi précis que ferme, qui me dit : «  je t’envoie comme missionnaire vers les continents afin de rassembler toutes les nations, qu’elles viennent et qu’elles voient ma gloire » ( Esaïe 66.18 )